La promesse d'un été qui ne finirait jamais hante un coin de l'esprit de M. Lui, le merle, haut perché, ne cherche pas à dissimuler son envie de partir un peu plus loin et la TSF, les thés glacés - cette tâche sur le coin de votre nez.
De peur du vide, sur les toits de la rue St Denis.
L. se retourne fréquemment dans un lit, tente de reprendre son oreiller en main et songe / aux fils souterrains. Non, on ne peut plus vendre d'alcool après 11 heures, et alors J. se demande quoi faire alors.
Quelqu'un confond maintenant cette feuille tombée prématurément et le cochonnet, mais c'est trois fois rien. Ponctuellement, l'avion se fait attendre et c'est presser les touches d'un clavier.
Mais demain sera différent, et les choses frustrées n'auront plus lieu d'être, c'est à peu près comme ça :
un livre est acheté au Nord, qui ne sera jamais lu. Peut-être après tout que St Denis n'est pas une rue, mais une avenue,
un champ miné,
un arrêt d'autobus.
M., mais cette fois c'est un autre M., ne sait trop quoi penser de cela, et s'endort,
encore.
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